Contact mortel

Contact mortelSous couvert de faire pousser des plantes vertes, la Biotek Agronomics, située en plein cœur de l’Utah, expérimente sur les gènes et autres molécules d’ADN afin de mettre au point une arme terriblement bactériologique. Le père de ladite arme ayant écrasé icelle sous la semelle de son soulier l’alarme est donnée, le bâtiment isolé et les employés atteints de folie furieuse s’entretuent à coups de haches. Tous sauf une. Pourquoi elle ? C’est la clé du film, la solution génétique à tous les problèmes… Un bon suspense, un léger soupçon de «Shining» dans le maniement de la hache par des zombis menaçants et grimaçants, mais une solution un peu simplette, pour quelques effrois efficaces.

Douce nuit, sanglante nuit

Douce nuit, sanglante nuitLe père Noël a bon dos. Le cinéma comique en a fait une ordure; le cinéma d’épouvante, un tueur fou. Par une froide nuit, un gentil bambin assiste impuissant au meurtre brutal de son père et sa mère par l’homme, déguisé en père Noël, qui a arrêté leur voiture… Treize années plus tard, après un séjour à l’orphelinat, sous la dictature d’une mère supérieure despotique et tyrannique, le bambin est devenu un fringant jeune homme et travaille comme magasinier dans une boutique de jouets. Tout semble normal… jusqu’au jour où le directeur de la boutique demande au jeune homme de se déguiser en père Noël pour aider à la vente. Le rouge déguisement réveille, bien sûr, des traumatismes enfouis dans l’inconscient. Et les morts violentes commencent à pleuvoir… Le reste du film est de facture classique, ponctué de meurtres sanglants et spectaculaires… avec, d’un côté les méchants qui se moquent et, de l’autre, la sœur de l’orphelinat qui a compris la douleur du meurtrier et veut le rattraper pour le protéger et l’empêcher de nuire. Encore un thriller louchant sur le succès d’«Halloween» ou de «Vendredi ’13».

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